[MAJ du 26 août 2018]
J’ai été pendant plusieurs années un ardent défenseur des cartes vectorielles. Compactes, d’un faible poids numérique, faciles à mettre à jour, elles sont parfaitement adaptées à l’usage sur nos appareils mobiles.
Selon le bon vieil adage que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis, de récentes évolutions techniques matérielles et logicielles, ajoutées à des évènements maritimes survenus ces dernières années, m’ont amenés à réfléchir sur la justesse de mon opinion. Formé à la vieille école de la sécurité aux Glénans, le seul parti-pris que je dois de m’autoriser à exprimer est celui de la sauvegarde de la vie humaine en mer. Cela risque de faire un peu « vieille barbiche » pour certains, mais j’assume. Accrochez-vous, ça va être long.