iNavX 3.0.2 – nouvelle fonction très attendue

INavX 3.0.2, disponible sous peu sur l’AppStore, apporte une fonction très attendue et des améliorations bienvenues :

Route vers le haut / Nord vers le haut

Cette fonction, quoique décriée par certains puristes (dont je fais partie), a été implémentée pour répondre à de nombreuses demandes d’utilisateurs intervenant sur le forum iphonesailing.net. Lire la suite …

Lecture : « Le Récif aux Espadons » de Arthur W. Upfield

Historique

Publié en 1939, « The Mystery of Swordfish Reef » n’a été édité en France qu’en l’an 2000 aux éditions 10/18, traduit de l’anglais par Michèle Valencia.

Arthur Upfield, né en Angleterre en 1888, est envoyé à dix-neuf ans par ses parents en Australie. Il y passera toute sa vie, hormis la période de la guerre 14-18. Il y découvrira la vie sauvage du bush australien, sillonnera durant des années tout le continent, vivant de petits boulots et métiers de fortune. Il fera en 1927 la rencontre décisive d’un métis aborigène, « traqueur » de la police du Queensland, qui lui inspirera le personnage du détective Napoléon Bonaparte, et révélera chez lui un formidable talent pour l’écriture de romans policiers. Il publiera sa première enquête en 1928, et ne cessera plus jusqu’à sa mort en 1964, au rythme de près d’un roman par an. Il est aujourd’hui reconnu comme le père du « polar ethnologique » (*).

Sur les 30 romans policiers écrits par Arthur Upfield, un seul situe l’action en mer, loin du bush et des aborigènes : c’est « Le Récif aux Espadons ». Lire la suite …

Lecture : « Le Cercle Celtique » de Björn Larsson

L’auteur

Né en Suède en 1953, professeur titulaire de littérature française à l’Université de Lünd en Suède, son premier roman, « Long John Silver », édité en 1992, obtint rapidement un réel succès. Traducteur du danois, de l’anglais et du français, philologue et critique, il a été à de nombreuses reprises invité au Festival « Etonnants Voyageurs » de Saint-Malo. Lire la suite …

Les acteurs de la cartographie électronique

Navionics, C-Map, BlueChart, MapMedia… Vous avouerez qu’on a du mal à s’y retrouver dans toutes ces marques de cartographie électronique. Qui appartient à qui ? Qui fonctionne avec quoi ?

Pour vous permettre d’y voir plus clair j’ai donc pris un peu de temps pour situer les principaux acteurs qui, au final, nous fournissent ces merveilleuses cartes qui nous évitent de stocker des kilos de papier. Gain de place, et écologique en plus ! Encore une fois, suivez le guide… Lire la suite …

Navigation à l’estime avec GPSnavX/MacENC

Comme cela est évoqué dans les pages d’aide de GPSNavX et de MacENC, sous la rubrique « Simulateur », on peut utiliser la fonction Simulateur pour effectuer une navigation à l’estime. Le simulateur, en effet, peut être pratique dans le cas où l’on ne dispose pas – ou plus – d’un GPS connecté. Lire la suite …

Une nouvelle rubrique « Lecture »

Ce blog, somme toute assez technique, me semble manquer cruellement de poésie ! J’ai donc décidé d’y apporter, de temps à autres, un peu de distraction en vous faisant partager mes lectures « maritimes » préférées. Cela sera peut-être la source pour certains d’entre-vous d’idées pour occuper les longues journées de navigation – que de nombreux terriens imaginent tellement ennuyeuses – et pour d’autres les longues soirées d’hiver passées à terre à attendre le retour de la belle saison.

Je n’ambitionne nullement de me poser en critique littéraire. Simplement de faire découvrir à ceux qui ne les connaissent pas déjà les quelques ouvrages, romanesques ou techniques, que j’affectionne particulièrement.

En retour, je suis preneur de toute découverte littéraire, peu ou prou maritime, dont je serais ignorant, il doit y en avoir un paquet !


Les titres de la rubrique Lecture

Obtenir une route à partir d’un dessin dans MacENC (suite)

Annotations

Choix du tracé

Depuis mon article du 20 novembre sur le sujet, la version 7.40 de MacENC a apporté la possibilité de tracer des lignes droites sur la carte avec l’outil « Annotation ».

Cela permet désormais de créer des routes plus facilement qu’à main levée, en créant moins de waypoints.

Le principe est le même qu’expliqué dans l’article précédent, la procédure restant identique. Lire la suite …

Un ordinateur à bord, pour quoi faire ?

C’est la question qui tue. Tout autant que ma réponse : rien !

Je m’explique. En navigation côtière, ça ne sert franchement à rien. L’informatique n’apporte rien à la sécurité, n’apporte guère plus de facilité qu’un GPS classique, ne fait pas gagner de temps. Si on compare le temps nécessaire à reporter le point du GPS sur une carte marine (je ne parle pas de reporter l’estime) au temps perdu devant un écran d’ordinateur à bidouiller tout un tas de fonctions superflues, on constate vite que l’ordinateur à bord est un boulet. Lire la suite …