A moins d’un mois du lancement par Ariane 5 de quatre nouveaux satellites portant la constellation GALILEO à 18 satellites, les fabricants de composants de localisation ont déjà présenté leurs nouvelles puces de localisation supportant le GNSS européen. Cela a permis à la société espagnole BQ de proposer début septembre le premier smartphone « Galileo-ready », équipé du processeur Qualcomm Snapdragon 652, l’Aquarius X5 Plus.
On aurait pu s’attendre à retrouver la même puce dans l’iPhone 7 d’Apple, qui équipait depuis l’iPhone 4S et l’iPad 3 tous ses appareils mobiles avec des processeurs de communication Qualcomm, intégrant réception GPS (US) et GLONASS (Russe), il n’en est rien. Avec ce dernier smartphone, Apple renoue avec Broadcom, écarté depuis 2012 pour assurer ces fonctions, en intégrant une puce BCM47734.



Depuis mon premier billet sur GALILEO fin 2011 (

Depuis quelques années des sites web permettant la visualisation du trafic maritime se sont développés sur la toile. Ils transmettent en continu par internet les positions reçues des émetteurs AIS des navires, captées par des bases de réception à terre, tout au long des côtes. Deux d’entre eux ont retenu mon attention car représentatifs d’options fort différentes : Marine Traffic et SiiTech. 

