Je m’ébroue, installe le pilote automatique, rentre dans le bateau, ouvre le livre de bord. Je dois me faire violence pour ne pas relire, une fois de plus, tes dernières annotations. Sur la page encore vierge leur faisant face, j’écris : vendredi 5 juin 2009. Sortie de Port Camargue à 5 heures du matin. 15 noeuds à l’anémomètre. 10 au loch. Compas sur 114 degrés. Mer peu agitée. »
Ainsi commence la quête d’une femme pour retrouver son amour disparu en mer quelque part en Méditerranée, entre Italie, Sicile et Tunisie. Lire la suite …